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English

 

Cassis (French pronunciation: ​[kasi]; Occitan: Cassís) is a commune situated east of Marseille in the department of Bouches-du-Rhône in the Provence-Alpes-Côte d'Azurregion in southern France.


It is a popular tourist destination, famous for its cliffs (falaises) and the sheltered inlets called calanques. The wines of Cassis are white and rosé, and not to be confused with crème de cassis, a specialty of Burgundy which takes its name from blackcurrants (cassis), not the commune.

 

Geography

 

The town is situated on the Mediterranean coast, about 20 kilometres (12.4 miles) east of Marseille. Cap Canaille 394 metres (1,293 feet), between Cassis and La Ciotat ("the civitas") is one of the highest maritime bluffs in Europe, a sailor's landmark for millennia.

 

History

 

The site where Cassis now sits was first occupied between 500 and 600 BC by the Ligures, who constructed a fortified habitation at the top of the Baou Redon. These people lived by fishing, hunting, and by farming.

 

The link with Massilia (Marseille), a city founded by the Phoceans,(Greek: Φώκαια), means that the current site of Cassis could have been inhabited by the Greeks, though no proof has yet been found.

 

During the Roman times, Cassis was part of the maritime route made by the Emperor Antoninus Pius. At this time, the port advanced right up to Baragnon. It was a small village, established mainly around the Arena and Corton beaches. The principal livelihood was fishing and maritime trade with North Africa and the Middle East. Several archaeological discoveries attest to this.

 

From the fifth to the tenth century, invasions by foreign tribes led the population to seek refuge in the castrum, a fortified city that, in 1223, became the property of the Seigneurie des Les Baux-de-Provence.

 

In the fifteenth century, Cassis was ceded to the Counts of Provence, then René of Anjou gave the town to the Bishops of Marseille, who ruled the town until theRevolution of 1789.

 

Industrial Revolution

 

In the eighteenth century, Cassis started to develop outside the ramparts of the fortified city and around the port. After the Bourbon Restoration, new industries developed here, including the drying of cod, the manufacture of olive oil and clothing, coral work, wine-making and the exploitation of local stone (cement, limestone). Indeed, the Stone of Cassis, which was quarried here since antiquity made the town famous. The masonry for the quays of the large Mediterranean ports (Alexandria,Algiers, Piraeus, Marseille, Port Said) originated from Cassis, as well as the base of the Statue of Liberty in New York City. Today, the stone is used for more domestic purposes: pile (the Provençal word for a sink), swimming pool etc.

 

In the twentieth century, as these industries began to disappear, the workforce turned to tourism and wine making. Cassis was one of the first three vineyards to profit from the appellation d'origine contrôlée (label of controlled origin) introduced in 1936.

 

Français

 

Cassis (Carsiicis portus à l'époque romaine, 1er siècle A.C.) est une commune du département des Bouches-du-Rhône et de la région administrative Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est caractérisée par les falaises et les calanques présentes sur son territoire et pour les vins de Cassis (blanc, mais aussi rosé) produits dans la région. Le tourisme a une forte présence dans la ville chef-lieu de cette commune.

 

La devise provençale de la commune attribuée à Frédéric Mistral est « Qu a vist Paris, se noun a vist Cassis, n'ai rèn vist », ce qui signifie « Qui a vu Paris et pas Cassis, n'a rien vu ».

 

Le nom de ses habitants est Cassidain, du provençal cassiden, qui peut avoir une origine ligure.

 

Géographie

 

Cassis se situe sur le pourtour méditerranéen, à environ 20 km à l'est de Marseille.

 

Relief


Le cap Canaille, situé entre Cassis et La Ciotat est l'une des plus hautes falaises maritimes d'Europe dont le point culminant, 394 mètres, se situe à la Ciotat au-dessus du sémaphore. Ces 11 km de côtes ont 2 sites classés : le massif des Calanques depuis 1975 et le cap Canaille depuis 1989. Ces deux sites et la ville sont visibles du haut de la route des Crêtes reliant Cassis à La Ciotat.

 

Géologie


Le sous-sol de Cassis appartient au crétacé. On trouve trois grands types de sols : des sols peu profonds et d’érosion, des sols rendziniformes et sols bruns peu profonds et des sols bruns développés sur colluvions.

 

Climatologie

 

Cette commune, proche de Marseille, est protégée du vent par la ceinture constituée des hauteurs environnantes. Les gelées sont exceptionnelles et il bénéficie d'une durée exceptionnelle d'ensoleillement, avec plus de 2800 heures de soleil par année, notamment grâce au mistral, qui souffle en moyenne 93 jours par an. Il y a en moyenne 525 mm de précipitations par an. Et elles sont les plus faibles de France et 81 jours de pluie (dont 39 dépassant 2,5 mm), principalement en automne-hiver. La température moyenne est de 23 °C.

 

Malgré un climat généralement clément, des épisodes extrêmes sont enregistrés. Ainsi, le thermomètre a atteint -16,8 °C le 12 février 1956 et +40,6 °C le 26 juillet 1983. Le 19 septembre 2000 et le 1er décembre 2003 on a mesuré plus de 200 mm de pluie en 24 heures. Le 14 janvier 19875 et le 7 janvier 2009 on a mesuré plus de 10 cm de neige.

 

Toponymie


La forme la plus ancienne est Tutelæ Charsitanæ, attestée dès le IIe siècle. Elle dérive ensuite en Carsicis (IVe siècle) et Castrum Cassitis (1323). Ces toponymes suggèrent un thème Car-s dérivé du pré-indoeuropéen *Kar notifiant pierre ou rocher, auquel a été ajouté la suffixe -ite. La langue française a conservé la graphie provençale Cassis qui est identique dans la norme classique et la norme mistralienne. Le "s" final n'est plus prononcé depuis plusieurs siècles en provençal et ne se prononce pas non plus en français régional de Provence.

 

Histoire


Les premiers témoignages


Les premiers témoignages de l'occupation du site remontent à 500 ou 600 ans avant J-C. On a retrouvé sur les hauteurs du Baou Redon les vestiges d'un habitat fortifié élevé par les Ligures qui vivaient de pêche, de chasse et d'agriculture. Des liens avec Massilia (Marseille), ville fondée par les Phocéens, laissent supposer qu'il aurait pu y avoir également une présence grecque à Cassis.

 

Au temps des Romains


À l'époque romaine, Cassis fait partie de l'itinéraire maritime de l'empereur Antonin le Pieux. Le port avance jusqu'à la place Baragnon. C'est déjà une petite bourgade, implantée principalement autour des plages de l'Arène et du Corton, vivant de la pêche, du corail et du commerce maritime avec l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient, comme l'attestent plusieurs découvertes archéologiques.

 

Du seigneur des Baux au roi René


Du Ve au Xe siècle, les invasions barbares conduisent la population à se réfugier sur les hauteurs à l'intérieur du castrum une cité fortifiée, qui deviendra en 1223 possession de la Seigneurie des Baux de Provence.

 

Le 4 avril 1402, à Brantes, au pied du Ventoux, en présence de son épouse Alix des Baux, Odon de Villars fit donation à son neveu Philippe de Lévis des fiefs de Brantes, Plaisians et leurs dépendances, des seigneuries de Saint-Marcel, Roquefort, le Castellet, Cassis et Port-Miou, dépendantes de la baronnie d’Aubagne, ainsi que de La Fare-les-Oliviers et Éguilles. Son neveu, en contrepartie devait lui servir de caution vis-à-vis de Raymond de Turenne dans l’observation d’un accord passé entre le vicomte, lui et son épouse Alix. En cas de non-respect de la part d’Alix et d’Odon, ces derniers devraient payer 50 000 florins à Raymond de Turenne.

 

Au xve siècle, Cassis est rattaché au Comté de Provence, puis le Roi René transmet la Cité aux évêques de Marseille qui exerceront leurs droits jusqu'à la Révolution de 1789. Les armoiries de la ville, où figure une crosse épiscopale, témoignent de cette époque.

 

L'expansion de la cité


Le port de Cassis dominé par les falaises de calcaire rose.


Au XVIIIe siècle, Cassis sort de ses remparts et se développe autour du port. Après la Restauration, de nouvelles activités se développent : sécheries de morues, confection de scourtins servant à la fabrication de l'huile d'olive, travail du corail, extension de la vigne, exploitation des carrières (ciment, chaux, pierre).

 

La pierre de Cassis, qui était exploitée dès l'Antiquité a fait la renommée de ce petit port de pêche dans le monde. Les quais des grands ports de Méditerranée en sont bâti, (Alexandrie, Alger, Le Pirée, Marseille, Port-Saïd, le socle de la statue de la Liberté à New York).

 

Au XXe siècle, ces industries disparaissent, relayées par le tourisme et par une viticulture toujours plus florissante (« vins de Cassis » fut l'une des trois premières appellations à être protégées par appellation d'origine contrôlée en 1936).

 

We will try to have a live streaming webcam in Kaysersberg, a town in the Elsass (Elsaß or Alsace) in the German part of France.

 

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English

 

Kaysersberg is a German speaking commune in the Haut-Rhin department in Alsace in north-eastern France.

 

The inhabitants are called Kaysersbergeois. The name means Emperor's Mountain in German.

 

The high fortress that dominates the city serves as a reminder of both its strategic importance and its warlike past. Together with the rest of Alsace-Lorraine, Kaysersberg was part of Germany during the period between the Franco-Prussian War and the First World War.

 

Kaysersberg is one of the finest wine growing areas in Alsace. The first vines were brought here in the 16th century from Hungary, and wine production is still an important aspect of the town’s economy today. Wine produced from the Tokay variety is a local specialty.

 

Geography

 

Kaysersberg lies north-west of Colmar, on the eastern slopes of the Vosges mountains.

 

Notable people

 

Kaisersberg was the birthplace of Albert Schweitzer (1875–1965), theologian, musician, philosopher, and physician.

 

 

Deutsch

 

Kaysersberg (im Ortsdialekt Kaisersbari, welsch Kèysprè) ist eine deutschsprachige (aber französische) Gemeinde mit 2709 Einwohnern (Stand 1. Januar 2011) im Département Haut-Rhin in der Region Elsass. Sie gehört zum Arrondissement Ribeauvillé (Rappoltsweiler), ist Hauptort des Kantons Kaysersberg und Sitz des Kommunalverbandes Vallée de Kaysersberg.

 

Geografie


Die Gemeinde Kaysersberg liegt im Tal der Weiss nordwestlich von Colmar an der Elsässer Weinstraße. Das Gemeindegebiet gehört zum Regionalen Naturpark Ballons des Vosges.

 

Geschichte


Das Tal der Weiss wurde im Mittelalter als Verbindungsweg zwischen der Rheinebene und Lothringen genutzt. Als Castrum Keisersberg wurde die Siedlung 1227 zum ersten Mal urkundlich erwähnt. Zum Schutz dieser Wegstrecke ließ der Stauferkaiser Friedrich II. den günstig gelegenen Platz, an dem vermutlich bereits eine Burg stand, vom kaiserlichen Schultheiß Wölflin erwerben und erneut befestigen. 1293 erhielt Kaysersberg das Stadtrecht, nahm einen raschen Aufschwung und trat 1353 als Freie Reichsstadt dem Zehnstädtebund bei. Von dem hier ansässigen kaiserlichen Vogt Lazarus von Schwendi (1522–1584) wird erzählt, dass dieser, als Heerführer gegen die anrückenden Türken in Ungarn dienend, von dort die Tokajerrebe mitgebracht haben soll. Im Westfälischen Frieden 1648 fiel die Stadt an Frankreich und blieb fortan, außer zwischen 1871 und 1918, französisch. Seiner Privilegien beraubt, fiel Kaysersberg in weitgehende Bedeutungslosigkeit. Nach der Französischen Revolution hieß der Ort vorübergehend Mont-Libre. Heute ist die kleine Stadt mit ihrem Altstadtkern ein beliebtes Ausflugsziel.

 

Sehenswürdigkeiten


Auf vielen Häusern, hohen Masten und Kirchen sieht man Storchennester, sitzende, an- und abfliegende Störche. Dies ist besonders im Frühjahr während der Paarungszeit und Aufzucht der Jungvögel ein Spektakel.

 

Bauwerke


Die im Mittelalter entstandene Stauferburg ist noch als mächtige Burgruine erhalten geblieben, zu der von der Stadt zwei Fußwege führen. In den Bergfried wurde eine neue Treppe aus Beton eingebaut; die Turmspitze ist über diese frei zugänglich.


In der Kirche Sainte-Croix (Heilig Kreuz) findet sich eine übergroße Christusfigur und ein Schnitzaltar von Hans Bongart aus dem Jahr 1518.


Das Rathaus (Hôtel de ville) ist ein sehenswerter Renaissancebau (1604) mit Innenhof.

 

In der Altstadt finden sich weiterhin viele reich verzierte Fachwerkhäuser.

 

Museen

 

Das örtliche historische Museum (frz.: Musée local historique) ist in einem Steinhaus aus dem Jahre 1521 untergebracht und zeugt von der Geschichte der Region.

 

Das Albert-Schweitzer-Museum (frz.: Musée Albert Schweitzer) bietet Ausstellungsstücke aus dem Leben des 1875 in Kaysersberg geborenen deutschen Missionsarztes Albert Schweitzer. Die Stadt gehörte damals zum Deutschen Reich.

 

Partnerschaft


Kaysersberg pflegt eine Partnerschaft mit Lambaréné in Gabun (Afrika), wo der in Kaysersberg geborene Albert Schweitzer in dem von ihm gegründeten Urwaldhospital gewirkt hatte. Seit 2008 besteht auch eine Partnerschaft zur belgischen Gemeinde Perwez in Wallonien.

 

Söhne und Töchter der Stadt


Johann Geiler von Kaysersberg (1445–1510), bedeutender deutscher Prediger des ausgehenden Mittelalters, ist zwar nicht in Kaysersberg geboren, wuchs aber ab seinem 4. Lebensjahr hier bei seinem Großvater auf.


Matthäus Zell (1477–1548), Theologe und Reformator


Joseph Philippi (1808–1891), Pfarrer und Reichstagsabgeordneter


Albert Schweitzer (1875–1965), evangelischer Theologe, Orgelkünstler, Musikforscher, Philosoph, Missionsarzt und Friedensnobelpreisträger (1952)